Debian est une distribution GNU/Linux, avec système d’exploitation basé sur le noyau Linux.Debian, dont la première version a vu le jour en 1993, fondé par Ian Murdock Il s’agit de la plus ancienne distribution libre du monde et elle est très utilisée par les professionnels pour son extrême stabilité et sa fiabilité. Le projet Debian est un groupe mondial d’individus volontaires qui s’efforcent de produire un système d’exploitation qui soit composé exclusivement de logiciels libres.
Un système d’exploitation est l’ensemble des programmes et utilitaires de base qui permettent de faire fonctionner votre ordinateur. Au cœur d’un système d’exploitation se trouve le noyau. Le noyau est le programme le plus fondamental sur l’ordinateur, il fait toute la gestion de base des ressources et vous permet de lancer d’autres programmes. Les systèmes Debian utilisent actuellement le noyau Linux ou le noyau FreeBSD. Linux est un logiciel initié par Linus Torvalds et développé par des milliers de programmeurs de par le monde. FreeBSD est un système d’exploitation comprenant un noyau et d’autres logiciels.
Le contrat social de Debian : https://www.debian.org/social_contract Gnu c’est quoi: https://www.gnu.org/ le GRUB (GRand Unified Bootloader) Open Source est le chargeur de démarrage par défaut sur les systèmes x86. Le rôle du GRUB est de charger l’archive d’initialisation dans la mémoire du système. Une archive d’initialisation est un ensemble de fichiers critiques nécessaire au démarrage du système avant que le système de fichiers racine ne soit monté.
Contribution au chaton comme administrateur, plus particulièrement pour les sites sous spip, et maintenance des serveurs: https://www.le-pic.org/. Contribution à l’association : https://debian-facile.org. Maintenance technique de plusieurs sites sous spip sur le net.
les livres que j’ai aimé, tout ça un peu en vrac, avec l’aide de mes souvenirs…..Maurice
Très jeunes, le soir, ma mère nous lisait des historiettes pour enfants , à moi et ma sœur, les contes de Grimm, Perrault, Andersen, et autres dont je n’ai plus le nom.
Comme tous les enfants de l’école, je lirai les bd, comme, tartine mariolle, akim, rahan ,bibi fricotain et autres bd de l’époque sans oublier pif…
À partir de 10 ans, j’accompagne mon père qui se rends régulièrement aux archives de la Mairie et de la bibliothèque municipale et aux archives de la ville de Roanne, il faut dire qu’il s’intéresse très peu à mon sort, mais plus à ses passions, l’archéologie gallo-romaine et le militantisme. À ces occasions, la plupart de temps, il m’abandonne un temps dans des endroits plein de livres, comme la grande salle de la bibliothèque, ou au musée, je me rappelle la première fois où je me suis assis devant les hautes étagères, heureusement pour moi, les rangés du bas contenaient toutes les œuvres complète d’ Arthur Conan Doyle, c’est alors que j’ai commencé par le premier, et petit à petit, j’ai lu l’intégralité des aventures de Sherlock Holmes.
Le reste du temps, je le passe jusqu’à tard le soir, dans l’atelier mansardé d’un ami de mon père, un peintre, dessinateur, sculpteur, musicien, je rencontre chez lui, d’autres personnes originales, tous, peintres, musiciens, acteurs de théâtre, de cirque, l’ambiance y est toujours sympathique.
Je fuis l’école à 13 ans et demie, et je suis embauché dans une grande librairie papeterie, la librairie Lauxerois, je suis embauché malgré mon jeune âge, comme garçon de courses, ce qui me donne l’occasion de lire gratuitement bons nombres d’ouvrages, à l’occasion du renouvellement des présentoirs, je me sers pour lire à la maison, et je passe plus de temps dans l’atelier mansardé de Michel, jusqu’à tard dans la nuit, c’est là que je découvre le flamenco, sa grande passion, voir la biographie de Michel : https://miguelalcala.com/fr/page-65786-biographie .
Avec ce travail en Librairie, je découvre mon premier livre classique, ce sera Hervé Bazin avec ‘Vipère au poing’, suivra le grand Meaulnes, Howard Fast avec ses nouvelles fantastiques comme ‘les premiers hommes’, mais aussi M.Pagnole, V.Hugo, E.Zola. Puis je tombe sur la collection ‘Marabout’, les livres de Jean Ray et les aventures d’Harry Dickson, les contes de Claude Seignolle. Ceci me permet de découvrir la revue ‘Fiction’ et les nouvelles de Van Vogt, Isaac Asimov et Ray Bradbury à qui l’on doit ‘Fahrenheit 451’.
À 17 ans, c’est à Lyon que je découvre les situationnistes, fin 67 c’est la sortie du ‘Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations’ de ‘Raoul Vaneigem’. Mai 68, en vadrouille entre Lyon, Marseille, Avignon, Paris, je découvre beaucoup d’autres ouvrages. je lis les classiques, beaucoup de romans, je découvre Edgar Allan Poe avec “double assassinat dans la rue Morgue, Stefan Zweig et “le joueur d’échecs”. En 1969, débarqué fraîchement à Toulouse, je dévore les écrits d’Antonin Artaud. j’ai bien sur lu quelques romantiques comme , Hugo, G.Sand, A.de Musset, Chateaubriand, Rousseau, Gérard de Nerval, et ben sur les petits romantiques comme Lacenaire, Gérard de Nerval, Théophile Gautier, j’ai parcouru bien plus tard, Pétrus Borel et ses contes immoraux Naturellement,dans cette année 69, je suis la sortie des livres des éditions “Champ libre”, ainsi que les collections “J.J.Pauvert” et plus particulièrement la collection “liberté”, puis, “la petite collection Maspero” qui prolifèrent à cette époque .
J’aurai une période polars, avec les incontournables de la série noir des éditions de Marcel Duhamel. dans les années 70, on achetait un carton de polars de la série noir pour 1 ou 2 francs, j’ai trouvé au même prix la totalité de la “série blême”
Avec l’âge et le temps, Je m’intéresse à la philo, au début principalement à Georg Wilhelm Friedrich Hegel, qui reste le toujours celui que je relis sans cesse, je lis aussi Ludwig Andreas Feuerbach, Karl Marx, Friedrich Engels, F. Nietzsche, Gunther Anders, Herbert Marcuse, Walter Benjamin, je parcours aussi Saint Simon, Hannah Arendt, Sun Tzu, Rousseau, Voltaire, Charles Fourier, Diderot, Michel de Montaigne, Valéry, Michel Foucault, Alexandre Kojève, Machiavel,
Mais aussi des plus contemporains, Gilles Deleuze que j’apprécie beaucoup, Miguel Benasayag, Bernard Stiegler.
J’aime relire avec le même intérêt que la première fois, les ouvrages d’ Henri Lefebvre , “critique le la vie quotidienne” et “la vie quotidienne dans le monde moderne”
Il y a bien d’autres auteurs qui m’ont marqués, F. Villon, poète français de la fin du Moyen Âge . Jean Rictus ami de Gaston Couté, tous les deux poètes, écrivains populaires, “les soliloques du pauvre” de Rictus et “le gas qui à mal tourné” de Couté, et J.Vallès..
Jean Malaquais avec “Planète sans visa” juif, apatride et de gauche, Malaquais, Comme tant d’autres persécutés, se réfugie à Marseille sous l’occupation. Son premier roman “les javanais” retrace la vie des étrangers, émigrés dans le Sud de la France, arméniens, turcs, polonais, lituaniens et arabes, embauchés comme mineurs dans des conditions inhumaines . André Gide l’aidera pour convaincre les maisons d’éditions.
Dos Passos et ses voyages à travers le monde, “du monde entier”, Howard Fast dans “rouge”nous raconte sa vie sous le maccarthysme, son roman “Spartacus” écrit en prison, sera mise en scène par Stanley Kubrick, à lire aussi son roman policier-politique: Cour martiale”.
Avec Upton Sunclair je découvre cet ouvrage incroyable qu’est “la jungle”, sur l’exploitation des immigrés, les conditions de logements, les conditions de travail abominables dans les abattoirs de Chicago.
Maxim Gorki, son livre “la mère” très touchant, réaliste de l’époque.
J’ai parcouru des écrits de Bertolt Brecht, Vladimir Maïakovski, R. Maria Rilke, Louis Aragon, Franz Kafka, Henry Miller, Georges Orwell, Paul Éluard, Jean Giono, André Gide, Daniel Guerin Romain Gary, G. Apollinaire. Puis, Arthur Rimbaud, incontournable si l’on aime la poésie, tout comme Lautréamont et “les chants de maldoror”
Robert Desnos, Maurice Nadeau, Octave Mirbeau, Louis Ferdinand Céline, Raymond Queneau, Jack London, John Steinbeck, Charles Baudelaire, Les frères Marx, Blaise Cendrars, Milan Kundera, H.Balzac, Paul Morand, Michel Butor, Adolf Rudnicki,Émile Zola, Albert Camus, Henry Poulaille, Umberto Eco .
Des livres de révoltés, je retiens particulièrement, Mezz Mezzrow et “la rage de vivre”, Emmett Grogan, figure emblématique du mouvement Hippie et son livre “Ringolevio” nous fait découvrir un jeux populaire, mais peu commun, à lire aussi “la dernière manche”.
J’ai aussi apprécier certains livres de Boris Vian, “L’écume des Jours”, “Vercoquin et le plancton” et ses polar “Et on tuera tous les affreux” et “J’irai cracher sur vos tombes”.
Angela Davis et son ouvrage” Femmes, race et classe. Kate Millett et son ouvrage des années 70 “La politique du mâle”. Alexandre Jacob “un anarchiste de la belle époque”. Pablo Neruda et le très beau livre “j’avoue que j’ai vécu” .
À travers la littérature d’histoire sociale, voir la littérature prolétarienne d’ Henri Poulaille, j’ai appris beaucoup du mouvement social, de l’histoire du mouvement ouvrier avec Agricol Perdiguier, Édouard Dolléans, Alfred Rosmer, Victor Serge, Daniel Guérin, Jean Maitron, Voline.
Je me suis intéressé à Sylvain Maréchal, E. Reclus, Joseph Proudhon, Michel Bakounine, Charles Fourier, Emma Goldman, , Joseph Déjacque, David Thoreau, Karl Korsch, Gracchus Babeuf, Auguste Blanqui, Georges Sorel, Charles Fourier, Simone Weil, Rosa Luxemburg, Luis Mercier Vega.
En ce qui concerne les situationnistes, j’en ai lu la plupart, comme Debord, Riesel, Viénet, Vaneigem, Gianfranco Sanguinetti, et parcouru largement Michèle Bernstein, Mustapha Khayati, Marianne Nikolic, Isidore Isou, fondateur du mouvement lettriste avec qui Debord collabora un temps, auteur du livre et du film “traité de bave et d’éternité”.
Hans Magnus Enzensberger, éditeur de très beaux livres, auteur de poésie et autres ouvrages, j’ai beaucoup aimé “le bref été de l’anarchie” qui retrace la vie de Buenaventura Durruti .
Max Stirner, la lecture de “l’unique et sa propriété” influencera ma position lors de mon refus de faire le service national. Ma déclaration de refus sera philosophique et non religieuse.
Les dadaistes et des surréalistes. Le livre de Maurice Nadeau “histoire du surréalisme” est tés bien documenté comme celui de Georges Richemont-Dessaigne sur “DaDa”, et “Raconte pas ta vie” de Marcel Duhamel, Grand ami de J.Prévert, R.Desnos, B.Peret et bien d’autres. Je possède un bon nombre d’ouvrages sur ces deux mouvements de révolte d’après guerre, mais je suis loin d’avoir lu tous les ouvrages, j’ai parcouru en diagonale pas mal de leurs œuvres, de leurs publications revues et journaux, leurs dessins, peintures, collages, je continue par période à les découvrir, j’y consacrerai un écrit un jour.
J’y ai découvert des personnages digne d’attention, tel qu ‘Unica Zurn, Dora Marr, Jean-Pierre Duprey, Jean Dubuffet. .
Le poète n’aime plus dans les êtres que leur expression ; l’ existence des êtres humains, des femmes, de l’amour, se double d’une existence « poétique » (incertaine, vaporeuse, irréelle, parce que surtout verbale) ; de même le philosophe n’aime plus des êtres que leur signification; comme l’expression poétique, la « signification » philosophique se trouve au niveau du réel, en lui et cependant plus haut que lui, comme un double de sa réalité, qui seul intéresse, attire, séduit et fascine. Les philosophes insistent alors sur ce qu’il y a de plus bas dans la vie quotidienne, pour mieux montrer dans le monde philosophique la négation de cette vie, le néant libérateur. ……………….H.Lefebvre : Critique de la vie quotidienne
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la spéculation financière sur les œuvres dépends de la spéculation intellectuelle qui les a promues…. Lorsque le théoricien est complètement satisfait par une pièce d’art, il y a lieu de s’inquiéter pour elle, car cela veut dire qu’elle colle exactement aux mots dont il l’entoure. Or, quoi qu’on en dise aujourd’hui, une œuvre digne d’attention a toujours outrepassé les commentaires qui l’ont précédée et suivie.
J.P.Domecq: Artiste sans art. édition Esprit . année 1999
Personnellement, je n’ai jamais suivi une école, un “maître”, une technique, j’ai toujours regardé les sculptures avec un certain intérêt, avec cette curiosité de voir en même temps l’œuvre, mais aussi celui qui à fait, faute de le voir, je l’imaginais, et forcément un jour, j’ai eu envie de pratiquer.
Je suis allé dans des carrières, et j’ai demandé à prendre des chutes dans les dépôts qui ne servaient pas à la production de l’entreprise.
Les débuts furent un peu décevant, on n’arrive pas toujours à ce que l’on désire, il faut affiner, recommencer encore et encore. J’ai commencé avec du grès de l’Aveyron, puis des pierres calcaires blanches, des grès d’Espagne assez fins et assez durs, avant de découvrir le marbre
Je n’ai jamais été vraiment satisfait par les sculptures que j’ai réalisé, lorsque je les regarde, je ne vois que les défauts, et c’est comme ça que j’évolue vers le mieux.
La pierre n’est pas élastique, si l’erreur a creuser dedans est irréparable, il faut tout reprendre, ou changer de projet, sauf à utiliser des résines avec poudre de pierre, mais je me refuse à cette solution de triche.
La sculpture est avant tout un plaisir . Ce qui me plaît, c’est faire sortir de la pierre une image la plus réussie, telle qu’on la voit dans la réalité, ou telle qu’on l’imagine.
Je ne pense pas que l’on puisse apprendre à créer une œuvre, comme on apprend la technique de la copie, qui elle, est une pure technique à plusieurs facettes, à l’aide de compas, de règles et autres outils. Cependant il existe quelques livres bien faits et qui donnent un aperçu sur la technique de la taille, des bronzes, du modelage, Je prendrai comme exemple, le livre (un peu cher, mais se trouve facilement d’occasion) “la sculpture”, ‘méthode et vocabulaire’, édité par le ministère de la culture, sous les presses de l’imprimerie nationale.
La création est un désir, une envie, une motivation, un rêve qui se concrétise, et rien d’autre. Ça ne s’apprend pas. On tape dans le caillou, certains sont plus durs que d’autres, le marbre se chasse avec des outils bien affûtés ou bien forgés, on ne l’attaque jamais de front, car il cassera c’est sûr, c’est comme du verre, Il faudra être patient et prudent, pour rendre le marbre lisse et brillant.
Le moule à pièce est un exercice de l’œil, bien examiner la pièce à mouler, tracer la ou les lignes qui vont déterminer les chapes. Puis tracer toutes les contres dépouilles, ou tout au moins les visionner pour s’en rappeler, au fur et à mesure du travail, il peut y avoir des modifications. Lorsque l’on à compris les contre-dépouilles, le nombre de pièce n’a plus vraiment d’importance, mis à part le poids, bien que sur roulette l’on puisse réaliser des prouesses, ou bien, faire les chapes en résine, ce qui reste très léger par rapport au plâtre.
Parfois, il faut prendre les empreintes su place
Le plâtre : généralités
Pour réaliser une pièce d’ornement, on a recours soit, au moule à pièce, au moule sous chape ou au moule à creux perdu. les moules sont réalisés la plupart du temps en plâtre de moulage, (parfois en elastomer et résine, mais j’aborderai pas ce sujet ).
Le plâtre est du gypse, ou sulfate de calcium cuit au four, calciné,la pierre perd son eau de combinaison et devient pulvérulent puis est réduit en fine poudre , au contact de l’eau il se réhydratera de nouveau et redeviendra dur. Le plâtre utilisé pour le moulage est très fin, devient très dur à la prise, avec une légère augmentation de volume de 0.2 à 0.4 % à la fin de sa prise, en effet le gonflement du plâtre peut aller dans les premières heures ou dans les premiers jours jusqu’à 0.6 à0.7 %.La prise définitive du plâtre se fait entre 25 et 30 jours. Certains plâtres ont un pouvoir d’absorption plus grand que d’autre, et deviennent plus dur. C’est en fonction de cette capacité d’absorption d’eau que se déterminera le pouvoir hydraulique du plâtre. Le plâtres monte en température lors de sa prise, on peut augmenter la rapidité de prise du plâtre avec de l’eau tiède, mais pas chaude, jusqu’à 30° ou 35°, à de plus forte température on diminue la rapidité de prise , on l’annule aux environ de 60 ou 65°. Le sel marin peut augmenter la rapidité de prise à concentration de 5%, plus la retardera. Le retardateur de prise le plus souvent utilisé est le borax à 1 à 2%. Attention la présence de retardateur ou d’accélérateur dans le plâtre diminuent ses qualités mécaniques. Si vous voulez retarder la prise gâchez plus clair, si vous voulez plus rapide gâchez avec énergie assez longtemps. Si vous voulez un plâtre plus dur essayez de le mélanger avec du sel d’alun, ou du sulfate de zinc ou encore du sulfate d’alumine.
Proposition stage de moulage:
On verra ça à la demande, et au nombre de participants, des personnes viennent parfois avec une pièce qu’ils ont réalisés, leur but étant d’en faire des copies. Je me suis aperçu à cette occasion que même des gens qui font de la sculpture ne voient pas les contre-dépouille et pense faire un moule en deux partis simple, alors que ce n’est pas possible, il faut faire un moule à pièces.
Je pense qu’une pièce simple est le plus simple pour l’apprentissage. Voir 2 à 4 pièces par chape, pour apprendre le principe..
Bien que je n’aborderais pas autre forme de moulage que le moule à pièce, voici un exemple de plusieurs étapes sur un moulage “sous chape” en résine d’un crabe. 1m20 de large.
Que dire sur le modelage ? l’œil et les idées seront vos guides, et bien sur l’observation: quelques remarques de fautes les plus remarquées lors du modelage anatomique. Il y a plusieurs phalanges à un doigts, 3 exactement, proximale, moyenne … Continuer la lecture →
Estamper la terre dans un moule, c’est l’action qui consiste à étaler la terre dans le moule de façon méthodique, suivre les creux et les bosses en écrasant avec le pouce, et essayer de presser la même épaisseurs sur toute la surface, tout en évitant des espaces vides, et donc chasser les bulles d’air.. L’épaisseur doit-être le plus possible homogène, ceci pour éviter les fissures et cassures à la cuisson. Il faudra bien faire attention aux petites pièces qui auront tendance à bouger pendant l’estampage, à surveiller.
L’épaisseur de terre varie de 1cm à 3cm selon les moules.
la finition des bords sera arasé proprement.
Lors de l’assemblage des moules, une couche de barbotine précédé de rayures pour l’adhérence sera procédé juste avant le collage des deux parties.
la partie avec les clés sera bien sur au dessus, les clés empêchant les pièces de tomber.
pour les grosses pièces à estamper, vous pouvez vous fabriquer vos outils en terre.